Jasmine Paolini, Jessica Pegula, Elena Rybakina, Naomi Osaka : quatre grandes questions

Ce que nous pensons de chaque joueuse de premier plan de la WTA alors que nous nous dirigeons vers 2025.

Regarder en arrière, regarder en avant. Avec la saison WTA 2024 dans les livres, Joel Drucker a neuf scénarios notables à considérer au cours des prochaines semaines, avant le début de la prochaine année du tennis féminin. (Sur les appareils mobiles, faites défiler vers le bas pour en savoir plus sur les plats à emporter de la WTA ; sur le bureau, vous verrez des articles supplémentaires sur le côté gauche de votre écran.)

Paolini a atteint ses deux premières finales du Grand Chelem cette année à Roland Garros et Wimbledon, l'une des deux seules femmes à atteindre plusieurs finales du Grand Chelem cette année, aux côtés de Sabalenka.

Paolini a atteint ses deux premières finales du Grand Chelem cette année à Roland Garros et Wimbledon, l’une des deux seules femmes à atteindre plusieurs finales du Grand Chelem cette année, aux côtés de Sabalenka.

Jasmine Paolini, Jessica Pegula, Elena Rybakina et Naomi Osaka ont chacune connu des saisons qui suscitent des interrogations.

Après n’avoir jamais atteint le troisième tour d’un tournoi majeur avant 1924, Paolini s’est qualifié pour les finales de Roland Garros et de Wimbledon, et a terminé au 4e rang, son sommet en carrière. Le souriant Italien maintiendra-t-il ce niveau d’excellence ?

Une question similaire s’applique à Pegula, qui n’avait jamais dépassé les quarts de finale d’un tournoi majeur avant de percer jusqu’à la finale de l’US Open.

Rybakina, à son meilleur niveau pour battre Sabalenka et Swiatek, a souffert de divers maux tout au long de l’année qui ont déclenché de nombreux abandons et sorties anticipées. Comment cela va-t-il se passer pour elle avec un nouvel entraîneur, Goran Ivanisevic ?

Rybakina a annoncé la nouvelle de son nouvel entraîneur avant une deuxième participation consécutive aux finales WTA à Riyad.

Rybakina a annoncé la nouvelle de son nouvel entraîneur avant une deuxième participation consécutive aux finales WTA à Riyad.

Osaka, de retour d’un congé de maternité en janvier, est désormais de retour au 59e rang mondial. Bien qu’elle soit encore loin des sommets occupés autrefois par ce quadruple champion du Grand Chelem en simple, Osaka a montré des signes occasionnels de son éclat passé, notamment à Roland-Garros, lorsqu’elle a tenu une balle de match contre l’éventuel champion Swiatek.

Elle aussi a un nouvel entraîneur, qui commencera à travailler avec Patrick Mouratoglou cet automne. L’optimisme partagé par Osaka toute cette année sera-t-il étayé par davantage de résultats en 2025 ?